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Conseil à la France désolée (Sébastien Castellion)

Castellion Sébastien

Conseil à la France désolée

EditeurLa passe du vent

CollectionHaute Mémoire

Date de parution09/2015

ISBN/code barre978-2-84562-276-0

Format (mm)140 × 205 mm

ReliureBroché

Nombre de pages148

Poids207 g

Prix 12,00 €
Feuilleter

« Pensez-vous que Dieu, qui hait les idolâtres, aime les meurtriers ? » En 1562, alors que commençait la première des huit « guerres de Religion » qui allaient ensanglanter la France jusqu’à l’édit de Nantes (1598), la voix de Sébastien Castellion s’éleva depuis son exil bâlois pour conjurer catholiques et protestants de cesser de « forcer les consciences » et de persécuter les « hérétiques ». Quatre siècles et demi plus tard, au moment où, sous l’action de nouveaux « fous de Dieu », le monde voit se propager l’intolérance et le fanatisme, ce Conseil à la France désolée résonne comme un cri on ne peut plus actuel. Et fait écho à la célèbre sentence que, huit ans auparavant, le même Sébastien Castellion avait formulée : « Tuer un homme, ce n’est pas défendre une doctrine : c’est tuer un homme ». Présentée et annotée par Michel Kneubühler, la présente édition offre la possibilité de lire le Conseil à la France désolée, soit dans la version originale de 1562, soit dans une transposition en français contemporain.

« Pensez-vous que Dieu, qui hait les idolâtres, aime les meurtriers ? » En 1562, alors que commençait la première des huit « guerres de Religion » qui allaient ensanglanter la France jusqu’à l’édit de Nantes (1598), la voix de Sébastien Castellion s’éleva depuis son exil bâlois pour conjurer catholiques et protestants de cesser de « forcer les consciences » et de persécuter les « hérétiques ». Quatre siècles et demi plus tard, au moment où, sous l’action de nouveaux « fous de Dieu », le monde voit se propager l’intolérance et le fanatisme, ce Conseil à la France désolée résonne comme un cri on ne peut plus actuel. Et fait écho à la célèbre sentence que, huit ans auparavant, le même Sébastien Castellion avait formulée : « Tuer un homme, ce n’est pas défendre une doctrine : c’est tuer un homme ». Présentée et annotée par Michel Kneubühler, la présente édition offre la possibilité de lire le Conseil à la France désolée, soit dans la version originale de 1562, soit dans une transposition en français contemporain.