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L. Lambrichs Louise

Journal d'Hannah

roman

EditeurLa rumeur libre

CollectionLa Bibliothèque

Date de parution03/2014

ISBN/code barre978-2-35577-065-4

Format (mm)141 x 192

ReliureDos carré collé, cahiers cousus

Nombre de pages232

Poids272 g

Prix 20,00 €
Feuilleter

« Comme tout journal digne de ce nom, celui-ci, tenu par Hannah pendant près de vingt ans mais entrecoupé de longs silences, est tissé de ces secrets qui ressortent des profondeurs les plus intimes des êtres. C’est pourquoi sa lecture, souvent, nous coupe le souffle. » Joshka Schidlow, Télérama, 30 mars 1994.

Réédition, Journal d’Hannah a été consacré « Meilleur livre de l’année » en 1993 par la revue Lire, et récompensé par le Prix Point de Mire en Belgique – décerné par la RTBF.

(Extraits de presse)

« Le livre que voici est une exception, un petit bijou d’émotion ténue, de ces émotions sobres et intenses qui prennent à la gorge et ligotent l’attention. (…) un roman hors mode, inoubliable. » Jacqueline Rémy, L’express, 7 octobre 1993.

« Un livre proche des larmes comme de la joie. Quand on a fini de le lire, on hésite à l’abandonner… » André Rollin, Le canard enchaîné, 20 octobre 1993.

« … un très beau témoignage sur la transmission, le poids des mots et du silence. » B. Geberowicz, Synapse, octobre 1993.

« Comme tout journal digne de ce nom, celui-ci, tenu par Hannah pendant près de vingt ans mais entrecoupé de longs silences, est tissé de ces secrets qui ressortent des profondeurs les plus intimes des êtres. C’est pourquoi sa lecture, souvent, nous coupe le souffle. » Joshka Schidlow, Télérama, 30 mars 1994.

« Un magnifique récit témoin de la génération issue du génocide. » V.J., L’événement du jeudi, 28 octobre au 3 novembre 1993.

« Louise L. Lambrichs entrouvre la porte de ce ‘continent noir’ qu’était pour Freud l’inconscient féminin. Un récit très pudique et d’une rare sensibilité. » Le grand livre du mois, octobre 1993.

« Écrit comme un authentique journal, ce livre est d’une force et d’une authenticité rares ». Pascale Frey, Lire, février 1995.

« … une manière de se dresser contre toute tentation de démission. » Monique Verdussen, La Libre Belgique, 20-21 novembre 1993.