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Béatrice Bonhomme

Bonhomme Béatrice

Béatrice Bonhomme est poète, directrice de revue, critique littéraire, professeure à l’Université Côte d’Azur. Spécialiste des XXe et XXIe siècles et plus particulièrement de poésie moderne et contemporaine elle a créé, en 1994, la Revue NU(e), revue de poésie et d’art qui se consacre à la poésie contemporaine et poursuit ses publications désormais en ligne sur POESIBAO. Elle est responsable de La Société des lecteurs de Pierre Jean Jouve et a fondé, de 2003 à 2023, un axe de recherche dédié à la poésie, POIEMA, au sein du CTELA, Centre Transdisciplinaire d’Épistémologie de la Littérature et des Arts vivants, qu’elle a dirigé durant 7 ans. Elle a publié études, articles et ouvrages sur la poésie moderne et contemporaine dont Mémoire et chemins vers le monde et Pierre Jean Jouve, la quête intérieure, mais aussi de nombreux actes sur des poètes dans le cadre de plusieurs colloques qu’elle a dirigés à Cerisy. Le prix Léopold Sédar Senghor lui a été décerné en 2016 par le Cénacle Européen – sa recherche ayant contribué à la reconnaissance de la poésie contemporaine – et, en juin 2019, le Prix Vénus Khoury-Ghata pour son livre : Dialogue avec l’Anonyme. Citons ses derniers livres de poèmes Les Boxeurs de l’absurde (L’Étoile des limites, 2019), Proses écorchées au fil noir (Collodion, 2020) et Monde, genoux couronnés (Collodion, 2022) qui a reçu le Prix Mallarmé 2023. Un livre sur l’œuvre poétique de Béatrice Bonhomme Le mot, la mort, l’amour chez Peter Lang est paru en 2012. Deux revues Poésie-sur-Seine et Coup de soleil lui ont été consacrées (2020-21), ainsi que de nombreux articles. 
Photo ©A.MACARRI-Univ-Côte d'Azur

Bibliographie

Poésie

Murmurations des oiseaux, La rumeur libre, 2025.
Monde, genoux couronnés, Collodion, 2022. Gravures de Béatrice Bonhomme avec la collaboration de Serge Popoff.
Proses écorchées au fil noir, Collodion, 2020. Filigranes de Mario Villani.
Les Boxeurs de l’absurde, L’Étoile des Limites, 2019.
Deux paysages pour, entre les deux, dormir, VVV, 2018. Palimpseste de Michaël Bishop.
Dialogue avec l’Anonyme, Collodion, 2018. Frontispice de Claire Cuenot.
L’Indien au bouclier, Collodion, 2013. Frontispice de Stello Bonhomme. Dessin de Patrice Villani.
Variations du visage et de la rose, L’Arrière-Pays, 2013. Frontispice de Stello Bonhomme.
Kaléidoscope d’enfance, NU(e), 2012 d’après un spectacle de lanterne magique. Peintures de Stello Bonhomme.
Passant de la lumière, L’Arrière-Pays, 2008. Autoportrait de Mario Villani.
Mutilation d’arbre, Collodion, 2008. Préface de Bernard Vargaftig. Autoportrait de Mario Villani.
La Maison abandonnée, Melis, 2006. Postface de Bernard Vargaftig. Pastels de Christine Charles.
Cimetière étoilé de la mer, Mélis, 2004. Préface de Claude-Louis Combet.
Photographies, Mélis, 2004. Préface de Serge Martin.
Poumon d’oiseau éphémère, réédition augmentée, Mélis 2004. Préface de Bernard Vargaftig.
Jeune homme marié, nu, réédition augmentée, Mélis, 2004. Préface de Salah Stétié.
L’Âge d’en haut, réédition augmentée, Mélis, 2004. Préface de Tristan Hordé.
Nul et non avenu, Collodion, 2002. Sérigraphie de Claire Cuenot.
Le Nu bleu, L’Amourier, 2001. Préface de Bernard Vargaftig. Photographies de Sonia Guerin, Jean-Marie Rivello, Béatrice Bonhomme. Dessin de Mario Villani.
La Grève Blanche, Collodion, 1999. Sérigraphie d’Alberte Garibbo.
Sabre au clair, Tipaza, 1998. Dessin de Jean-Claude Le Gouic.
Les Gestes de la neige, L’Amourier, 1998. Préface de Salah Stétié. Frontispice et gravure originale d’Henri Maccheroni.
Poumon d’oiseau éphémère, Moires, 1998. Illustration de Tristan Bastit.
Journal de l’absence initiée, Encres vives, 1998.
Le Dessaisissement des Fleurs, Rafaël de Surtis, 1997. Préface de Daniel Leuwers. Illustration de Mario Villani.
Sauvages, Moires, 1997. Illustration de Tristan Bastit.
Jeune homme marié, nu, suivi de L’Univers n’en sait rien, NU(e), 1995.
Lieu-dit du bout du monde, Encres vives, 1994.
Le Pas de la Clé, La Vague à l’âme, 1994. Dessin de François Thierry.
In Absentia, An Amzer, 1993. Préface de Jacques Lepage. Dessins de François Thierry.
L’Âge d’en haut, Traces, 1991. Deux Gravures de Mario Villani.